AUSTERLITZ

Pour le bicentenaire (2 décembre 2005) Monsieur Michel Saurel a organisé une reconstitution, ludique, de la célèbre bataille.

L'équipe française et l'équipe austro-russe posent pour l'immortalité (de gauche à droite: Philippe/Davout, Julian/Napoléon Ier, Michel/Lannes, ?/Bagration, Benoît/Alexandre Ier, Stéphane/Buxhoden):

Les Français Les Austro-russes

A remarquer: l'extraordinaire distribution de Cordons de la Légion d'Honneur et de Grands Croix de Saint Georges avant même la bataille! Certains ne se montreront pas à la hauteur de leurs décorations...

D'une main de maître... Davout, implacable

Buxhoven ébranle lourdement ses puissantes colonnes... et Davout répond à son mouvement adroitement: d'une main de maître, il jugule l'attaque pataude de l'austro-russe. Les Coalisés ne prendront pas la route de Vienne. L'Histoire l'avait déjà décidé ainsi.

Le Tzar rectifie son plan de bataille Napoléon, confondu

Le Tzar envoie les ordres nécessaires pour sauver son aile gauche si mal engagée. La Garde russe et la réserve de cavalerie iront épauler à temps le malheureux Buxhoven. Napoléon, trop sûr de sa victoire, lance prématurément un puissant assaut au centre. Patatrac ! C'est du dur, là, du super dur ! Et la Garde Impériale reflue... Murat se fait taper à son tour! Napoléon, confondu, regarde désormais d'un oeil absent la bataille se poursuivre... Et là-bas, Lannes se fait corriger par Bagration ! C'en est trop, oublions ce bicentenaire.

Fin